La faculté à utiliser des techniques de combat dans une situation réelle dépend de nombreux facteurs. Premièrement, la clé du succès réside dans un choix offensif ou défensif, d’où l’importance d’offrir un bon programme d’entraînement sous la tutelle d’un coach et ses compétences. La qualité essentielle d’un combattant n’est pas seulement d’utiliser à bon escient ses connaissances techniques mais surtout son aptitude à gérer l’espace et son sens du combat, sans oublier les ouvertures, réagir au bon timing et adapter sa stratégie personnelle. Ceci est beaucoup plus valable face à un adversaire qui utilise une toute autre stratégie que la vôtre.
S’engager dans une lutte requiert des conditions mentales et physiques importantes. De surcroît, les facultés comme la force, l’endurance, la flexibilité et la détermination mèneront un combattant à se perfectionner davantage.
Mais ne sera-t-il pas déstabilisé sous l’emprise du stress, de la montée d’adrénaline ou bien pétrifié sur place par l’oubli d’une technique ? C’est déjà arrivé maintes fois dans la vie d’un pratiquant.
Conseil : Si vous n’avez jamais reçu de coups violents (très) ou bien été projeté lourdement, vous ne saurez pas comment réagir face une éventualité pareille.
Un boxeur a tellement pris de punchs qu’il n’appréhende plus de futures attaques. Un lutteur ou un judoka ont aussi connu de telles chutes (lourdes) qu’ils s’accoutument très vite à la projection. La combinaison de ces styles de combat prépare ainsi un pratiquant à des échanges tactiques d’attaque-défense innombrables. Ses performances se trouvent démultipliées dans des conditions très stressantes réelles ou de compétition. Un pratiquant bénéficie d’une expérience incontestable de ce qu’est l’esprit sportif tant dans le combat ou la self-défense. Par conséquent, les sports de combat développent des attributs « guerriers » dont des attitudes mentales impitoyables.
Devenir un guerrier pacifique est la maîtrise totale de l’ensemble des critères combatifs et mentaux ; en d’autres termes, c’est combattre ses démons intérieurs.
S’engager dans une lutte requiert des conditions mentales et physiques importantes. De surcroît, les facultés comme la force, l’endurance, la flexibilité et la détermination mèneront un combattant à se perfectionner davantage.
Mais ne sera-t-il pas déstabilisé sous l’emprise du stress, de la montée d’adrénaline ou bien pétrifié sur place par l’oubli d’une technique ? C’est déjà arrivé maintes fois dans la vie d’un pratiquant.
Conseil : Si vous n’avez jamais reçu de coups violents (très) ou bien été projeté lourdement, vous ne saurez pas comment réagir face une éventualité pareille.
Un boxeur a tellement pris de punchs qu’il n’appréhende plus de futures attaques. Un lutteur ou un judoka ont aussi connu de telles chutes (lourdes) qu’ils s’accoutument très vite à la projection. La combinaison de ces styles de combat prépare ainsi un pratiquant à des échanges tactiques d’attaque-défense innombrables. Ses performances se trouvent démultipliées dans des conditions très stressantes réelles ou de compétition. Un pratiquant bénéficie d’une expérience incontestable de ce qu’est l’esprit sportif tant dans le combat ou la self-défense. Par conséquent, les sports de combat développent des attributs « guerriers » dont des attitudes mentales impitoyables.
Devenir un guerrier pacifique est la maîtrise totale de l’ensemble des critères combatifs et mentaux ; en d’autres termes, c’est combattre ses démons intérieurs.